En 2001 était créé au Québec un Centre de Justice Réparatrice, qui propose des temps de rencontre entre des offenseurs et des victimes (non leur propre victime) dans la confidentialité.
Ces espaces de parole donnent aux victimes d’être entendues et reconnues, et aux offenseurs l’espace pour reconnaître voire découvrir l’ampleur des dégâts causés.
Au fil des rencontres, une transformation s’opère : une forme de réparation qui n’est pas un retour à un état antérieur – avant le crime – mais plutôt une nouvelle naissance, dans une dignité retrouvée, des deux côtés.
Découvrez ce beau documentaire, sorti à l’occasion de l’anniversaire de fondation du CSJR. Trois des fondateurs du CSJR y prennent la parole, dont Thérèse de Villette, xavière.
Nous ne pouvons que souhaiter que la justice réparatrice – ou restaurative – soit de plus en plus connue et expérimentée à travers le monde !Thérèse de Villette présente la justice réparatrice dans cette interview et aussi dans cette vidéo.
